Vous aimeriez en savoir plus ?
Si vous êtes ici, c’est probablement que vous aimeriez en savoir un peu plus sur moi, mon parcours ou encore ma vision ? Vous êtes au bon endroit !
Alors bonne découverte (virtuelle)
QUI SUIS-JE ?
Passionné par l’humain et notamment par les relations humaines, j’aime Etre au service du vivant et du vivre ensemble.
Pour moi, la vie est un grand chemin d’apprentissage et d’évolution possible, je m’intéresse à énormément de choses dans différents domaines de vie et je m’émerveille d’observer, que d’une certaine manière tout est relié.
Dans mon parcours, j’ai pu expérimenter et traverser certaines épreuves particulières et aujourd’hui, j’ai l’élan de partager mes découvertes et prises de conscience. Transmettre ce que j’ai acquis, soutenir les personnes, accompagner les organisations désireuses d’évolution sont des leitmotivs.
Mon aspiration profonde à vivre la paix et l’harmonie, depuis ma tendre enfance, m’a amené à découvrir sur le tard, la Communication NonViolente (CNV) et paradoxalement à être à l’aise avec les conflits, ce qui m’a conduit à devenir médiateur.
Aujourd’hui, j’interviens aussi bien en médiation conventionnelle que judiciaire, dans les domaines de la sphère privée ou professionnelle.
J’ai à cœur d’accompagner les particuliers et les organisations, désireux d’utiliser la médiation comme méthode alternative à la résolution des conflits.
Que cela soit, au sein d’une famille, d’une communauté ou d’une entreprise, le conflit à condition qu’il ne soit ni ignoré ni minimisé peut-être une formidable opportunité de transformation positive dans les relations et une possibilité de grandir.
J’aime transmettre des clés de compréhension afin que chacun.e puisse avoir de la clarté sur ce qui se joue en lui/elle (et en chaque être humain dans une situation de conflit), afin d’être plus « outillés » et acquérir de l’autonomie dans la gestion de ses émotions et autres mécanismes de défense.
Ces clés permettent à l’individu (à l’entreprise) d’être plus résilient, à vivre de la sérénité dans ses relations personnelles ou professionnelles et être en capacité par la suite de gérer « seul » une amorce de conflit et à trouver avec l’autre une solution constructive à leur différend.
Apprendre à communiquer,
harmoniser les différences,
transmettre la paix & la non violence…
voici 3 exemples qui m’animent 🙂
Zoom sur mon parcours
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Enfant, j’observais déjà comment des quiproquos, des malentendus pouvaient générer de la violence verbale, du rejet, de la non compréhension de l’autre. J’arrivais à percevoir que bien souvent les gens exprimaient la même chose mais n’avaient pas les mêmes « codes », les mêmes manières de les formuler ou encore les mêmes stratégies pour les atteindre. Ce qui fatalement conduisait à des tensions, à une sorte de lutte et d’opposition. Le fameux: « Si tu n’es pas avec moi, alors tu es contre moi ! » Celui qui génère beaucoup d’émotions telles que la tristesse, la colère destructrice, la violence verbale ou physique, des jeux de pouvoir (on cherche à convaincre, persuader, soumettre voir intimider l’autre.)
J’étais celui qui, déjà lors d’un conflit, allait voir chez l’un puis chez l’autre ce qui se vivait, pour tenter une réconciliation, car j’avais déjà cette aptitude à être réceptif à mon environnement, à rentrer dans la sphère émotionnelle de l’autre, à avoir une vue d’ensemble.
Pour moi, la violence dans le conflit n’avait pas de sens. Je trouvais cela tellement stupide et inutile, je ne comprenais pas comment deux personnes qui voulaient vivre la même chose (exemple: s’amuser ensemble), finissaient par se bagarrer.
Mon propre rapport au conflit, ma quête de sens étaient déjà présents.
A l’époque, je n’avais ni les outils, ni la compréhension suffisante sur les origines de certains de nos jugements / croyances / émotions et donc comportements. En effet, il est intéressant d’avoir de la clarté (pour reconnaître chez soi) comment fonctionne les mécanismes de défense et de réactivité en lien avec tout ce que l’on a pu vivre (ressentir, voir, entendre). Notre conditionnement, notre environnement, notre langage enclenchent bien souvent des mécanismes (inconscients, automatiques) qui vont générer une tension qui peut conduire au conflit ou bien l’exacerber.
Jeune adulte et diplômé, j’ai commencé à travailler dans le domaine de la prévention des risques (sécurité des biens et des personnes) dans l’industrie, pour une entreprise privée. Pendant cette période de challenges et de réalisations, j’ai beaucoup appris, non seulement sur moi, mais aussi sur les relations humaines. J’ai découvert vers l’âge de mes 25 ans, ce que l’on appelle le « développement personnel ». Un autre univers et terrain d’exploration se sont dès lors offerts à moi.
J’ai continué à observer à un autre niveau comment mes peurs, mes croyances (le non palpable, l’invisible) avaient une incidence directe sur ma vie quotidienne (ma réalité concrète telle que mes relations, mon métier, mes finances). J’ai pu ressentir chez moi et chez les autres comment la posture et la communication avaient un impact majeur sur l’ambiance, la qualité de vie au travail et donc directement sur la productivité, l’implication des personnes, le turn over.
De par ma position d’appui, en tant que préventeur SSE (à la fois sur le terrain et dans les bureaux), j’étais en lien avec la direction (et ses objectifs propres), ma hiérarchie, le respect du code du travail (et ses objectifs propres). Mais aussi, au contact de chaque individu ou équipe (avec leurs objectifs et histoires propres). Bref, j’étais au contact de plusieurs dynamiques individuelles ou de groupes et donc au carrefour parfois de tensions.
J’y ai découvert d’autres « nœuds de conflits » comme les non-dits (les masques), les jeux de pouvoir, les dénis de responsabilité, les positions figées et les classiques malentendus / jugements. Cela a été une période de vie extrêmement riche, intense et instructive même si cela n’a pas été toujours très confortable tant j’aspirais à vivre autre chose 🙂
J’étais au final et certainement, comme vous, qui me lisez : un individu X dans une organisation Y et donc au contact des relations humaines, de situations complexes rendues compliquées et où la tension était parfois marquée entre les personnes. Les différences (éventuelles) résident dans mes capacités à « ressentir » / « percevoir » mon environnement (tensions notamment) et au fait que j’aspire à la non violence et à l’harmonie. Il est tout à fait possible d’atteindre des objectifs élevés, de relever des défis tout en prenant soin des relations humaines et de l’intégrité physique et mentale des personnes.
Pendant cette exploration et alors que j’aspirais à vivre encore plus d’authenticité, de fluidité et de joie (notamment au travail), je suis tombé sur un livre…
« Cessez d’être gentil, soyez vrai ! ». Une révélation !
J’y ai découvert la communication non violente, un art de vivre qui est en adéquation avec ma réalité, ma vision du monde et de ce que j’aspire à vivre avec mes semblables.
Après quelques stages en présentiel, je me suis rendu compte que ce que l’on appelle communément « communiquer » n’est en réalité qu’un ersatz, un mot dénué de sa qualité originelle.
On a tendance à penser et à croire que savoir parler et émettre un message c’est communiquer alors qu’en réalité il n’en est rien, car bien souvent entre l’émission et la réception, il y a eu quelques modifications (Cf. article Edmon wells alias Bernard Weber).
La « véritable » communication c’est pouvoir s’autoriser à s’exprimer de manière authentique, de s’assurer d’avoir un retour (feedback) pour éviter certains nœuds du conflit et cela suppose un échange.
Sur ce chemin, allant de découverte en découverte, une fois de plus un univers s’ouvrait à moi et avec, un changement de paradigme profond et puissant.
Puis, vint la décision d’effectuer une reconversion professionnelle, de commencer à œuvrer en voulant contribuer à mon tour, à faire découvrir ce paradigme possible et à m’engager sur le parcours de certification pour devenir formateur en CNV, ce qui demande un certain temps d’intégration. Puis, lors d’un stage, un échange avec un médiateur me reconnecte à cette énergie en moi qui me pousse à m’inscrire pour intégrer le cursus de formation de l’Institut Emergence pour devenir médiateur CNV.
Bingo !
Dès le premier jour, un sentiment de plénitude m’envahit, un mélange subtil et savoureux de gratitude, de joie profonde et de paix, vibre à l’intérieur de moi.
Comme une évidence, un retour aux sources, je suis parfaitement à ma place.
Aujourd’hui, je désire aider les personnes en leur donnant des clés de compréhension sur elles-mêmes, sur le fonctionnement du cerveau et de ses mécanismes, réussir à entendre l’autre derrière son message souvent maladroit.
Nos conditionnements font qu’en réalité nous savons quasiment tous parler mais nous savons peu communiquer et encore moins communiquer de manière bienveillante, non seulement avec autrui mais aussi avec soi-même.
Le langage a une incidence directe sur la manière, dont se déroulent nos relations interpersonnelles.
COMMUNIQUER cela suppose que la personne puisse être entendue, ET qu’elle puisse entendre réellement l’autre.
En tant que médiateur, je contribue à rétablir une communication « véritable » entre deux personnes, à soutenir les personnes à exprimer leur besoin prioritaire pour qu’ils puissent trouver une solution adéquate.
Selon moi, avoir une communication authentique, simple et bienveillante (ou consciente) permet la fluidité dans les échanges et surtout d’arriver à surmonter n’importe quel challenge qui survient.
La violence naît des conditionnements, des peurs plus ou moins conscientes mais néanmoins présentes en chaque Etre humain.
A travers la communication consciente (inspiré de la CNV) et de la médiation, j’aime à croire que je participe à mon niveau, tel le colibri, à réaliser ce rêve.
J’ai le rêve que chaque Etre humain sur cette planète puisse pleinement s’exprimer sur ses expériences, sans engendrer de la pitié, ou ressentir de la culpabilité, qu’il soit libre des jeux plus ou moins inconscients du mental.
Que chacun puisse avancer sur son chemin, à son rythme et se reconnecter à sa part la plus élevée.
MERCI à celles et ceux qui rêvent aussi et qui décident à leur niveau de faire de même.
MERCI d’oser faire ce pas, à la fois si simple et en même temps si difficile de faire quelque chose de différent voir inhabituel.
MERCI de vous laisser « la chance » d’améliorer votre communication, d’un mieux-être ou tout simplement de vous laisser l’opportunité de transformer ce conflit en un cadeau pour vous et votre relation.
I HAVE A DREAM
Parmi toutes les références externes qui m’inspirent, j’aimerais parmi les plus connus, vous en partager au moins 4 :
Gandhi, Martin Luther King Jr, Marshall Rosenberg et Amma sont pour moi des mentors, des inspirations.
J’aime beaucoup l’idée d’incarner soi-même le changement que l’on désire voir dans le monde.
De commencer par soi, en toute bienveillance et humilité, puis d’acquérir de la puissance petit à petit, c’est à dire de grandir en conscience.
Dans ce juste équilibre qu’est l’évolution, afin d’être plus en paix et en bienveillance, je ne cherche plus à changer* l’extérieur par la force (= en réaction à), à essayer de FAIRE pour que l’extérieur se conforme à mon intérieur, mais plutôt à manifester ce que je suis au plus profond de mon Etre. *Du moins, j’essaie car c’est: « Tout un programme, tout un chemin ! » 🙂
J’ai la conviction que chaque être humain porte en lui le pouvoir créateur ou destructeur.
C’est un CHOIX de chaque instant. Encore faut-il : 1) le savoir et 2) le percevoir.
J’ai un Rêve !
Le rêve que chaque être humain sur cette planète puisse se libérer des conditionnements et des peurs associées, pour que pas à pas, il puisse retrouver sa souveraineté et être enfin libre d’être Soi.
J’ai le rêve que chaque être humain vive au contact de sa part la plus élevée, qu’il puisse être en capacité de faire des choix en conscience.
Qu’il puisse contribuer par son unicité, à créer un monde où l’humilité, le respect, l’harmonie et l’intégrité sont des valeurs communes, partagées et manifestées.
Un monde, où chacun est responsable de ses émotions et de ses actions.
Un monde où les relations sont teintées de respect mutuel, de simplicité, de fluidité et de compassion.
Un monde où la véritable communication, bienveillante, authentique et transparente puisse s’exprimer à chaque instant sans freins, sans peurs.
Un monde où les organisations dont les entreprises soient pleinement actrices du changement évolutif possible, où l’Humain et les relations humaines sont au cœur de son process, pour que finalement les deux puissent VIVRE la prospérité en étant au service du vivant.
Car qu’est-ce qu’une société ? Si ce n’est la somme (ou le produit) des individus qui la composent ?
Un monde où, finalement, il n’y aurait plus besoin de médiateur, car intégré en chacun de lui.
« Soyons un peuple de médiateur » disait Marshall Rosenberg.
Je crois que le monde est actuellement en pleine crise (=opportunité), en pleine mutation. Selon moi, c’est une crise de SENS. Revenir à l’essentiel est une clé.
Prendre soin de soi et des autres, non pas à partir d’une obligation morale, religieuse mais par élan et générosité naturelle.
Nous sommes des êtres humains doués d’empathie et de bienveillance innées, nous sommes des êtres non seulement sociaux mais interdépendants puisque vivants, de fait, sur la même planète.
Alors, soyons ce peuple… Qu’en pensez-vous ? 😉
« Si quelqu’un rêve seul, ce n’est qu’un rêve.
F. Hundertwasser
Si plusieurs personnes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité ! »